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#Intersection

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"The New York Philharmonic and John Jay College of Criminal Justice co-present “Unjust Malaise: Julius Eastman and a Broken Mental Health System,” the third installment in “The Unanswered Questions” discussion series. The conversation, part of the Philharmonic’s “Authentic Selves: The Beauty Within” examination of issues of identity, focuses on the life of avant-garde composer Julius Eastman and the ways in which society ostracizes, or even criminalizes, behavior deemed to be deviant.

The panelists are Luciano Chessa, composer, music historian, and conductor; Leah Goodridge, Esq., Managing Attorney for Housing for Housing Policy at Mobilization for Justice; poet R. Nemo Hill & composer-performer Mary Jane Leach. Gayle Murchison, Associate Professor of Music at the College of William and Mary, moderates the discussion."—New York Philharmonic

Unjust Malaise: Julius Eastman and a Broken Mental Health System >

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#panel #JuliusEastman #music #history #art #ostracism #intersection #healthcare #health #wellbeing #housing #justice #racism #trauma #criminalization #homelessness #poverty #eviction #uprisings #MentalHealth #MinimalMusic #NeoClassical #NYC ##OgranicMusic #GayRights #AfroAmerican #CivilRights #homosexuality #SocialJustice #video #NewYorkPhilharmonic #downtown

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"Le glissement de la bonne copine à la grande sœur, puis à la mère, est une réaction compulsive du patriarcat". Les femmes politiques ne sont pas nos copines, réflexion très intéressante de la sociologue Fania Noël sur @politis. On pense à gauche à Tondelier, Rousseau ou encore Leïla Chaibi (entre autres, bien sûr)... politis.fr/articles/2025/02/in

POLITIS · Les femmes politiques ne sont pas vos amiesPour s’offrir une plus grande visibilité, de nombreuses femmes politiques tentent de se faire passer pour « la bonne copine », notamment sur les réseaux sociaux. Un leurre antiféministe pour la sociologue, Fania Noël.

1971 Roadside Adventure - Two Travelers at Intersection

The image captures a moment of two travelers standing next to an intersection signpost.
One person is dressed in what appears to be Native American attire, complete with traditional patterns and jewelry, while the other sports vintage Western wear, including a hat and suit.

nocontext.loener.nl/fullpage/0

Je propose d'au lieu de dire des expressions du genre : "tu es fou/folle ou quoi ?" de plutôt dire : "tu es déshydraté.e ou quoi ?"

Les expressions contenants des mots issus des champs lexicaux de la psychologie pose problème non pas selon leur charge négative, neutre ou positive mais parce qu'elles insinuent toujours qu'il est préférable d'être dans la norme cognitive, d'être normalisé.e et que celleux qui ne le sont pas sont inférieur.e.s .

Certaines expressions ont pour effet de décrire une personne ou une situation comme exceptionnelle dans le sens positif du terme : "t'as réussi à faire ça ?! t'es trop un.e fou/folle :-D !", et c'est néfaste aussi puisque ça nie les conditions de vie et le vécu des personnes subissant le sanisme ce qui a pour conséquence de réduire implicitement mais concrètement les souffrances et les difficultés potentielles, de maintenir le statu-quo saniste en impensant les solutions : l'équité et la solidarité collective.

Inversement les expressions négatives criminalisent, déshumanisent, incapabilisent ou misérabilisent même sous le ton de l'humour et font aussi l'économie de la réalité pour pouvoir produire un effet culturel tout en étant toujours dépolitisantes.

De la même manière que les insultes et expressions putophobes, homophobes, sexistes ... etc légitiment culturellement la hiérarchie sociale; le patriarcat, il en va de même pour celles qui sont sanistes (=psychophobes/psyvalidistes).

Tout ça sans parler des intersections entre le fait de subir du sexisme et du sanisme, du racisme et du sanisme, de la transphobie et du sanisme, du classisme et du sanisme, du validisme et du sanisme (pour ne citer que les pluss visibles) et de leurs expressions oppressives respectives.

Si les violences individuelles sont toujours le produit des violences structurelles, les institutions (ici la psychiatrie) se nourrissent de la légitimation culturelle pour persister.

On ne peut rien abolir si l'on continue de légitimer culturellement la hiérarchie sociale.